“… Lancé à toute allure, ce centaure à trois têtes produit un orageux boucan de rythmes impétueux et de traits lyriques où les diphonies et les chants de gorge de Mongolie font écho aux effusions haut perchées que l’on aime à jeter en l’air dans les Balkans. Autant dire qu’on n’a guère le temps de s’ennuyer, ni même de souffler, avec ce deuxième album particulièrement fougueux : il file d’une seule traite sans oublier de jouer sur les contrastes nécessaires à l’émotion.”
Louis-Julien Nicolaou